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| - Pendant le régime militaire, les libertés syndicales en Corée du Sud ont été très limitées, bien qu'une loi de 1953 reconnaissait formellement les droits syndicaux selon une réglementation d'inspiration américaine[réf. nécessaire]. La démocratisation de la Corée du Sud à partir de 1987 a permis la reconnaissance de la liberté d'association, du droit de négociations collectives et du droit de grève. Aujourd'hui encore, certaines entreprises coréennes sont réputées entraver l'adhésion de leurs salariés à un syndicat. Ce fut, par exemple, le cas pour Samsung avant que l'entreprise n'autorise en 2019 la création d'une première organisation syndicale potentiellement viable de l'histoire du groupe, car affiliée à la puissante Fédération des syndicats coréens (FKTU). La Corée du Sud reste le dernier pays de l'OCDE où les fonctionnaires n'ont pas le droit de se syndiquer, la loi interdisant également à d'autres catégories sociales de se syndiquer, notamment les professeurs d'université titulaires (pour la plupart non fonctionnaires), les pilotes de ligne et les courtiers d'assurance. (fr)
- The Ministry of Employment and Labor announced on December 30 2021 that as of 2020, 14.2% of workers were in trade unions in South Korea, a 1.7% increase from 12.5% in 2019. Korea's unionization rate peaked in 1989 at 19.8% and fell to 10% 2004. There are two national trade union centres in South Korea: the Federation of Korean Trade Unions (FKTU) and the Korean Confederation of Trade Unions (KCTU). In 2007, the FKTU had 1,153,863 members (41.1% of trade unionists in Korea), the KCTU had 1,134,056 members (40.4%), and 516,714 workers were members of independent trade unions affiliated to neither national centre. (en)
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