About: Andevo     Goto   Sponge   NotDistinct   Permalink

An Entity of Type : owl:Thing, within Data Space : dbpedia.demo.openlinksw.com associated with source document(s)
QRcode icon
http://dbpedia.demo.openlinksw.com/describe/?url=http%3A%2F%2Fdbpedia.org%2Fresource%2FAndevo&invfp=IFP_OFF&sas=SAME_AS_OFF

The Andevo, or slaves, were one of the three principal historical castes among the Merina people of Madagascar, alongside the social strata called the Andriana (nobles) and Hova (free commoners). The Andevo, along with the other social strata, have also historically existed in other large Malagasy ethnic groups such as the Betsileo people.

AttributesValues
rdfs:label
  • Andevo (ca)
  • Andevo (en)
  • Andevo (fr)
  • Андево (ru)
rdfs:comment
  • Els andevo, o esclaus, van ser una de les tres principals castes històriques del poble merina de Madagascar, juntament amb els estrats socials anomenats Andriana (nobles) i Hova (plebeus lliures). Els andevo, amb els altres estrats socials, també han estat presents històricament en altres grans grups ètnics malgaixos, com en el poble betsileo. (ca)
  • The Andevo, or slaves, were one of the three principal historical castes among the Merina people of Madagascar, alongside the social strata called the Andriana (nobles) and Hova (free commoners). The Andevo, along with the other social strata, have also historically existed in other large Malagasy ethnic groups such as the Betsileo people. (en)
  • A Madagascar, Andevo est le terme générique servant à désigner les esclaves, au sens le plus large. On disait également mpanompo ou serviteur. Au départ, ce terme semble être issu de olon-devo, « gens de maison » dans l'ancienne langue où levo servait à désigner les maisons d'habitation, comme on le voit encore dans certaines langues régionales indonésiennes. Les andevo étaient donc surtout des domestiques et, dans bien des cas, la simple traduction du terme par « esclaves » soulève des problèmes. Dans le monde traditionnel, on était réduit à l'état d'andevo pour quatre raisons principales : (fr)
  • Андево — самый низший из трех основных классов мадагаскарской народности мерина, помимо андриана (дворянство) и (свободное население). Подобное социальное деление существовало у других малагасийских племён, таких как . Привезенные рабы получили название андево. Рабство было отменено французской администрацией в 1896 году, что повлияло на доходы плантаций, которыми в равной степени владели мерина и иностранцы. (ru)
foaf:depiction
  • http://commons.wikimedia.org/wiki/Special:FilePath/Queen_Ranavalona_I_of_Madagascar_engraving.jpg
dcterms:subject
Wikipage page ID
Wikipage revision ID
Link from a Wikipage to another Wikipage
Link from a Wikipage to an external page
sameAs
dbp:wikiPageUsesTemplate
thumbnail
has abstract
  • Els andevo, o esclaus, van ser una de les tres principals castes històriques del poble merina de Madagascar, juntament amb els estrats socials anomenats Andriana (nobles) i Hova (plebeus lliures). Els andevo, amb els altres estrats socials, també han estat presents històricament en altres grans grups ètnics malgaixos, com en el poble betsileo. A partir del segle xvi, es vam introduir els esclaus als diferents regnes de Madagascar per treballar en les plantacions. Els comerciants i nobles malgaixos, els àrabs swahili i els europeus van ampliar l'oportunitat de produir més i comerciar, utilitzant mà d'obra forçada d'esclaus importats. La major afluència d'esclaus va ser portada pels àrabs i els francesos. Els moçambiquesos van ser les principals víctimes d'aquesta demanda, aquests esclaus eren predominantment d'aquest país i de l'Àfrica Oriental. L'esclavitud va ser abolida per l'administració francesa el 1896, fet que va afectar negativament la fortuna de les plantacions d'esclaus operades pels Merina i els no Merina. (ca)
  • The Andevo, or slaves, were one of the three principal historical castes among the Merina people of Madagascar, alongside the social strata called the Andriana (nobles) and Hova (free commoners). The Andevo, along with the other social strata, have also historically existed in other large Malagasy ethnic groups such as the Betsileo people. In and after the 16th century, slaves were brought into Madagascar's various kingdoms to work in plantations. The Malagasy, the Swahili, and the European merchants and nobles expanded their opportunities to produce more and trade. These operations and plantations were worked by the forced labor of imported slaves. The largest influx of slaves was brought in by the 'Umani Arabs and the French. The Mozambique were one of the major victims of this demand, slave capture and export that attempted to satisfy this demand. These slaves were predominantly from East Africa and Mozambique. These slaves were called Andevo. The slavery was abolished by the French administration in 1896, which adversely impacted the fortunes of Merina and non-Merina operated slave-run plantations. The Andevo strata in the Merina society have been domestic and plantation workers. Their traditional inherited occupation has been as workers and artisans, and they constituted a large percentage of a society. The Andevo caste were also called the Mainty and they were denied the right to own land. A Hova person could be reduced to a slave for crimes or a debt in default, and in this state he would not be an Andevo, but be referred to as Zaza-hova. The Andevo, and other social strata were endogamous in the Merina and Betsileo societies. According to William Ellis memoir in 1838, a slave in the Malagasy society was prohibited from marrying a noble or a hova. The Andevo were considered olana maloto, or "impure people", in contrast to Hova and Andriana who were olona madio or "pure people". This presumed "impurity" and "purity" has been a reason for the historic social taboo against inter-marriages between Andevo and non-Andevo strata of the Malagasy societies. (en)
  • A Madagascar, Andevo est le terme générique servant à désigner les esclaves, au sens le plus large. On disait également mpanompo ou serviteur. Au départ, ce terme semble être issu de olon-devo, « gens de maison » dans l'ancienne langue où levo servait à désigner les maisons d'habitation, comme on le voit encore dans certaines langues régionales indonésiennes. Les andevo étaient donc surtout des domestiques et, dans bien des cas, la simple traduction du terme par « esclaves » soulève des problèmes. On trouvait des andevo (ou ondevo) chez tous les peuples de Madagascar jusqu'à ce que l'établissement du pouvoir colonial n'abolisse officiellement l'esclavage en 1896. Dans le monde traditionnel, on était réduit à l'état d'andevo pour quatre raisons principales : 1. * La captivité à la suite d'une guerre. Une éventuelle libération mettait alors fin au statut d'andevo. 2. * L'impossibilité de s'acquitter d'une dette importante. On était seulement alors 'andevo' de façon temporaire, jusqu'au paiement de sa dette. 3. * À la suite d'une condamnation pour crime, en particulier contre le souverain ou son autorité, ce qui inclut la rébellion. Seule une grâce royale pouvait alors y mettre fin. 4. * La naissance lorsque la mère était ou devenait elle-même andevo. Dans ce dernier cas, la libération devenait plus problématique, sans être impossible. Chez les Merina, les sujets andriana ou hova réduits à l'état d'andevo (on les qualifiait alors indistinctement de 'zazahova') retrouvaient leur groupe d'appartenance d'origine après leur éventuelle libération. Les gens de race noire réjoignaient cependant le groupe des mainti-enindreny. Contrairement à ce que certains tendent maintenant à imaginer, à Madagascar les andevo n'étaient donc pas considérés comme des 'choses' ou des 'animaux' mais simplement des 'exclus', de façon temporaire ou définitive, de la participation sociale normale. En fait, bien d'entre eux étaient simplement, pour établir un parallèle moderne, des 'détenus' ou des gens privés de leurs droits civiques. Là surtout ou cela se complique c'est lorsque le captif était d'origine étrangère et pouvait difficilement être intégré dans le groupe. C'est la raison pour laquelle, en pays merina, on a dû instituer le groupe à part des Mainti-enindreny. A Madagascar, la situation économique traditionnelle ne pouvait pas permettre une grande différence entre le niveau de vie des andevo et celui de la plupart de leurs maîtres théoriques. D'ailleurs, les andevo avaient la possibilité de travailler pour leur compte personnel et disposaient de biens propres, y compris d'autres andevo (qui devenaient ainsi andevon'andevo selon une expression consacrée!) qu'ils mettaient à leur service. La marque de leur servitude se réduisait alors au paiement d'une redevance, généralement un dixième de leurs acquis, à leurs maîtres. Il pouvait même arriver que des andevo deviennent plus riches que leur maître qui, pour pouvoir hériter éventuellement de leurs biens, n'avaient d'autres possibilités que de s'en faire adopter comme « enfant » légitime. En revanche, ils n'étaient pas soumis aux impôts et n'étaient pas non plus astreints au service public, comme les « corvées » royales ou le service militaire, privilèges (habituellement non retribués!) des seuls sujets libres. On comprend dès lors pourquoi bien des andevo refusaient la liberté, même lorsqu'ils avaient les moyens d'y accéder. * Portail de l’esclavage * Portail de Madagascar (fr)
  • Андево — самый низший из трех основных классов мадагаскарской народности мерина, помимо андриана (дворянство) и (свободное население). Подобное социальное деление существовало у других малагасийских племён, таких как . С начала 16 века рабы ввозились в различные регионы Мадагаскара для работы на плантациях. Таким образом местные и восточноафриканские торговцы вместе с европейской аристократией использовали свои возможности для расширения производства и торговли. Большая часть завезённых для этой цели рабов была из Мозамбика и восточной Африки, а основными посредниками при торговле выступали французы и арабы. Привезенные рабы получили название андево. Рабство было отменено французской администрацией в 1896 году, что повлияло на доходы плантаций, которыми в равной степени владели мерина и иностранцы. Большая часть андево была занята в качестве прислуги и рабочих на плантациях, и их род деятельности оставался неизменным из поколения в поколение. Они составляли значительный процент населения, и не имели права владеть землёй. Представители класса хува могли за долги или преступления перейти в статус рабов, но тогда их именовали Заза-хува. Для племён бецилеу и мерина данное социальное деление было эндогамным. Согласно мемуарам Уильяма Эллиса, в малагасийском обществе раб не мог жениться на хува или представителях дворянства. Андево считались olana maloto, «нечистыми людьми», в отличие от хува и андриана, которые были olona madio или «чистыми людьми». Эта предполагаемая «чистота» или «нечистота» послужила основой для исторической табуированности браков между андево и представителями иных классов в малагасийском обществе. (ru)
prov:wasDerivedFrom
page length (characters) of wiki page
foaf:isPrimaryTopicOf
is Link from a Wikipage to another Wikipage of
is foaf:primaryTopic of
Faceted Search & Find service v1.17_git139 as of Feb 29 2024


Alternative Linked Data Documents: ODE     Content Formats:   [cxml] [csv]     RDF   [text] [turtle] [ld+json] [rdf+json] [rdf+xml]     ODATA   [atom+xml] [odata+json]     Microdata   [microdata+json] [html]    About   
This material is Open Knowledge   W3C Semantic Web Technology [RDF Data] Valid XHTML + RDFa
OpenLink Virtuoso version 08.03.3330 as of Mar 19 2024, on Linux (x86_64-generic-linux-glibc212), Single-Server Edition (378 GB total memory, 67 GB memory in use)
Data on this page belongs to its respective rights holders.
Virtuoso Faceted Browser Copyright © 2009-2024 OpenLink Software