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| - In palaeography, a minim is a short, vertical stroke used in handwriting. The word is derived from the Latin minimum, meaning least or smallest. A minim is the basic stroke for the letters i, m, n, and u in uncial script and later scripts deriving from it. Parts of other letters are based on minims as well: when a minim is extended above the line, it becomes an ascender, as in the letters d and b, and when it is extended below the line, it becomes a descender, as in the letters p and q. It is a stem when it forms only part of a letter, such as r. (en)
- En paléographie, un minim est un trait vertical court utilisé en écriture. Le mot est dérivé du latin minimum, qui signifie le moins ou le plus petit. Un minim est le trait de base pour les lettres i, m, n et u dans l'écriture onciale et les écritures ultérieures qui en dérivent. Des parties d'autres lettres sont également basées sur des minimes : lorsqu'un minim est étendu au-dessus de la ligne, il devient un ascendant, comme dans les lettres d et b, et lorsqu'il est étendu en dessous de la ligne, il devient un descendant, comme dans les lettres p et q. Il s'agit d'une tige lorsqu'elle ne forme qu'une partie d'une lettre, comme r. (fr)
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| - En paléographie, un minim est un trait vertical court utilisé en écriture. Le mot est dérivé du latin minimum, qui signifie le moins ou le plus petit. Un minim est le trait de base pour les lettres i, m, n et u dans l'écriture onciale et les écritures ultérieures qui en dérivent. Des parties d'autres lettres sont également basées sur des minimes : lorsqu'un minim est étendu au-dessus de la ligne, il devient un ascendant, comme dans les lettres d et b, et lorsqu'il est étendu en dessous de la ligne, il devient un descendant, comme dans les lettres p et q. Il s'agit d'une tige lorsqu'elle ne forme qu'une partie d'une lettre, comme r. Les minimes ont souvent un trait de liaison qui indique clairement qu'ils forment un m, un n, etc. ; cependant, dans les écritures gothiques, également connues sous le nom de textualis, en particulier dans les exemples tardifs, les minimes peuvent se relier entre elles par un simple trait de ligne, ce qui rend difficile pour le lecteur moderne de savoir quelle lettre est signifiée. Un exemple du 14e siècle est le suivant : mimi numinum niuium minimi munium nimium uini muniminum imminui uiui minimum uolunt ("les plus petits mimes des dieux de la neige ne souhaitent pas du tout dans leur vie que le grand devoir des défenses du vin soit diminué"). En écriture gothique, cela ressemblerait presque à une série de traits simples (ce problème a finalement conduit à un i en pointillé et à une lettre j séparée). Les scribes du moyen anglais ont adopté une pratique consistant à remplacer u avant m, n ou v par o afin de briser la séquence des minimes. Les orthographes qui en résultent ont persisté dans les temps modernes avec des mots tels que come, honey et love, où un o représente un court ŭ. C'est la raison pour laquelle Richard Coates, dans son article de 1998, a changé l'orthographe de "LUnden" pour "LOndon". [...] Cette section est vide, insuffisamment détaillée ou incomplète. Votre aide est la bienvenue ! Comment faire ? (fr)
- In palaeography, a minim is a short, vertical stroke used in handwriting. The word is derived from the Latin minimum, meaning least or smallest. A minim is the basic stroke for the letters i, m, n, and u in uncial script and later scripts deriving from it. Parts of other letters are based on minims as well: when a minim is extended above the line, it becomes an ascender, as in the letters d and b, and when it is extended below the line, it becomes a descender, as in the letters p and q. It is a stem when it forms only part of a letter, such as r. Minims often have a connecting stroke which makes it clear that they form an m, n, etc.; however, in Gothic scripts, also known as textualis especially in late examples, minims may connect to each other with only a hair line stroke making it difficult for modern readers to tell what letter is meant. A 13th-century example of this is: mimi numinum niuium minimi munium nimium uini muniminum imminui uiui minimum uolunt ("the smallest mimes of the gods of snow do not wish at all in their life that the great duty of the defences of the wine be diminished"). In Gothic script this would look almost like a series of single strokes (this problem eventually led to a dotted ⟨i⟩ and separate letters ⟨j⟩ and ⟨v⟩). Middle English scribes adopted a practice of replacing ⟨u⟩ before ⟨m⟩, ⟨n⟩, or ⟨v⟩ with ⟨o⟩ in order to break up the sequence of minims. The resulting spellings have persisted into modern times in words such as come, honey, and love, where an o stands for a short ŭ.This is the reason Richard Coates gave, in his 1998 article, for 'LOndon' changing its spelling from LUnden. Gothic minims may have various decorations (essentially serifs), from a simple initial headstroke, to large diamond-shaped finials at the top and bottom, such as in textualis quadrata, the most decorated form of Gothic. Textualis sine pedibus, literally "textualis without feet", has minims with no finials at all, while textualis rotunda has round finials. (en)
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