"Catatropis johnstoni est un ver tr\u00E9matode originaire des \u00C9tats-Unis. Il a d'abord \u00E9t\u00E9 d\u00E9crit en 1956 par Martin, qui avait trouv\u00E9 des cercaires (un stade larvaire des tr\u00E9matodes) rel\u00E2ch\u00E9s par un escargot rencontr\u00E9 dans le sud-ouest de la Californie. Lorsque les cercaires sont donn\u00E9s \u00E0 manger \u00E0 des poules (Gallus gallus domesticus), ils se d\u00E9veloppent en vers \u00E0 maturit\u00E9; Martin \u00E9mit l'hypoth\u00E8se que l'h\u00F4te naturel de ce ver \u00E9tait des oiseaux d'eau. En 1970, une \u00E9tude des helminthes du rat Oryzomys palustris vivant dans un marais salant \u00E0 Cedar Key, en Floride, a permis de retrouver des vers semblables \u00E0 C. johnstoni. Le ver \u00E9tait pr\u00E9sent dans 30 % des 110 rats examin\u00E9s, avec un nombre de vers par rat variant de 1 \u00E0 500 (en moyenne 91). Quelques escargots de ce marais poss\u00E9daient \u00E9galement "@fr . "Catatropis johnstoni \u00E4r en plattmaskart. Catatropis johnstoni ing\u00E5r i sl\u00E4ktet Catatropis och familjen Notocotylidae. Inga underarter finns listade i Catalogue of Life."@sv . . "Catatropis johnstoni est un ver tr\u00E9matode originaire des \u00C9tats-Unis. Il a d'abord \u00E9t\u00E9 d\u00E9crit en 1956 par Martin, qui avait trouv\u00E9 des cercaires (un stade larvaire des tr\u00E9matodes) rel\u00E2ch\u00E9s par un escargot rencontr\u00E9 dans le sud-ouest de la Californie. Lorsque les cercaires sont donn\u00E9s \u00E0 manger \u00E0 des poules (Gallus gallus domesticus), ils se d\u00E9veloppent en vers \u00E0 maturit\u00E9; Martin \u00E9mit l'hypoth\u00E8se que l'h\u00F4te naturel de ce ver \u00E9tait des oiseaux d'eau. En 1970, une \u00E9tude des helminthes du rat Oryzomys palustris vivant dans un marais salant \u00E0 Cedar Key, en Floride, a permis de retrouver des vers semblables \u00E0 C. johnstoni. Le ver \u00E9tait pr\u00E9sent dans 30 % des 110 rats examin\u00E9s, avec un nombre de vers par rat variant de 1 \u00E0 500 (en moyenne 91). Quelques escargots de ce marais poss\u00E9daient \u00E9galement des cercaires semblables au C. johnstoni de Californie. Lorsqu'ils sont introduits dans des poulets, des rats Oryzomys palustris, des gerbilles de Mongolie(Meriones unguiculatus), des hamsters dor\u00E9s (Mesocricetus auratus) et des souris communes (Mus musculus), ces cercaires se d\u00E9veloppent en vers infectieux. Bush et Kinsella, qui ont \u00E9crit sur ce r\u00E9sultat en 1972, ont consid\u00E9r\u00E9 ces vers de Floride et de Californie comme \u00E9tant de la m\u00EAme esp\u00E8ce, comme il n'y avait que des diff\u00E9rences de taille mineures entre les deux. Comme aucune esp\u00E8ce de rat des marais ne vit en Californie et en Floride, ils sont convenus avec Martin que l'h\u00F4te normal de C. johnstoni \u00E9tait probablement un oiseau, peut-\u00EAtre un Rallid\u00E9 ou un Limicole. N\u00E9anmoins, le taux d'infection chez le rat des marais est trop \u00E9lev\u00E9 pour qu'il soit seulement un h\u00F4te accidentel, peut-\u00EAtre C. johnstoni a-t-il un territoire limit\u00E9 aux marais salants mais il n'a pas d'h\u00F4te sp\u00E9cifique. Catatropis johnstoni ne poss\u00E8de pas la s\u00E9rie de papilles lat\u00E9rales (structures mamelon-like) sur sa face inf\u00E9rieure qui est normalement pr\u00E9sente dans le genre Catatropis. Pour ce caract\u00E8re, il ressemble au australien, qui a le pore g\u00E9nital situ\u00E9 plus en avant. C. johnstoni a une cr\u00EAte m\u00E9diane sur la face inf\u00E9rieure, un autre trait du genre Catatropis, mais, contrairement \u00E0 toutes les autres esp\u00E8ces du genre, cette cr\u00EAte n'est pas lisse et consiste en une s\u00E9rie de papilles distinctes mais \u00E9troitement espac\u00E9es. En raison de ces caract\u00E8res, il peut ne pas appartenir \u00E0 Catatropis."@fr . . . . . . . . "Catatropis johnstoni is a fluke from the United States. It was first described in 1956 by Martin, who had found cercariae (a larval stage of a fluke) released by the snail Cerithidea californica in southwestern California. When the cercaria were fed into chickens (Gallus gallus domesticus), they developed into mature worms; Martin speculated that the natural host was a waterbird. In 1970, a study of helminths of the marsh rice rat (Oryzomys palustris) in a saltmarsh at Cedar Key, Florida, found flukes similar to C. johnstoni. The fluke was present in 30% of 110 examined rice rats, with the number of worms per rat varying from 1 to 500 (average 91). Some Cerithidea scalariformis snails from this marsh also released cercariae similar to C. johnstoni from California. When introduced into chic"@en . "3874"^^ . "Catatropis johnstoni"@en . "Martin, 1956"@en . . "Catatropis johnstoni is a fluke from the United States. It was first described in 1956 by Martin, who had found cercariae (a larval stage of a fluke) released by the snail Cerithidea californica in southwestern California. When the cercaria were fed into chickens (Gallus gallus domesticus), they developed into mature worms; Martin speculated that the natural host was a waterbird. In 1970, a study of helminths of the marsh rice rat (Oryzomys palustris) in a saltmarsh at Cedar Key, Florida, found flukes similar to C. johnstoni. The fluke was present in 30% of 110 examined rice rats, with the number of worms per rat varying from 1 to 500 (average 91). Some Cerithidea scalariformis snails from this marsh also released cercariae similar to C. johnstoni from California. When introduced into chickens, marsh rice rats, Mongolian gerbils (Meriones unguiculatus), golden hamsters (Mesocricetus auratus), and house mice (Mus musculus), these cercariae developed into infectious flukes. Bush and Kinsella, who reported on the result in 1972, regarded the Florida and California flukes as the same species, as there were only minor size differences between them. Because no marsh-inhabiting rodent occurs in both California and Florida, they agreed with Martin that the normal host of C. johnstoni was most likely a bird, perhaps a rail or shorebird. Nevertheless, the rate of infection in the rice rat is too high for it to be just an accidental host; perhaps C. johnstoni is restricted to saltmarshes but not host-specific. Catatropis johnstoni lacks a series of lateral papillae (nipple-like structures) on the underside, which are normally present in Catatropis. In this character, it resembles the Australian , which has the located further to the front. C. johnstoni does have a median ridge on the underside, another character of Catatropis, but unlike in all other species of the genus, this ridge is not smooth, but consists of a series of distinct but closely spaced papillae. Because of this character, it may not in fact belong in Catatropis."@en . . . "johnstoni"@en . . . . . . . . . . . "Catatropis johnstoni"@fr . "Catatropis"@en . . . "Catatropis johnstoni"@sv . . . "Catatropis johnstoni \u00E4r en plattmaskart. Catatropis johnstoni ing\u00E5r i sl\u00E4ktet Catatropis och familjen Notocotylidae. Inga underarter finns listade i Catalogue of Life."@sv . . "27166704"^^ . . . . . . . . . . "1051207429"^^ . . . .