. . . . . . . . . . . . . . "17154"^^ . . "Olivia Records is a women's music record label founded in 1973 by lesbian members of the Washington D.C. area. It was founded by Ginny Berson, Cris Williamson, Meg Christian, Judy Dlugacz, and six other women. Olivia Records sold more than one million records and produced over 40 albums during its twenty years of operation."@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Olivia Records"@fr . . . . . . . . . "United states"@en . . . . . . . . . . . . . . . . "1119718592"^^ . . . . . "1973"^^ . . . . . . . . . . . . . "California corporation since 1975"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Olivia Records is a women's music record label founded in 1973 by lesbian members of the Washington D.C. area. It was founded by Ginny Berson, Cris Williamson, Meg Christian, Judy Dlugacz, and six other women. Olivia Records sold more than one million records and produced over 40 albums during its twenty years of operation."@en . . . . . . . . . . . . "9412985"^^ . "Olivia Records Inc."@en . . "Olivia Records"@en . . . . . . . . . "Olivia Records est un collectif fond\u00E9 en 1973 par Judy Dlugacz et cinq amies pour enregistrer et commercialiser des musiques de femmes Olivia, nomm\u00E9e d'apr\u00E8s l'h\u00E9ro\u00EFne d'un roman de pulp magazine par Dorothy Bussy, qui tomba amoureuse de sa directrice dans un pensionnat francophone, est le fruit du travail de dix lesbiennes-f\u00E9ministes (les Furies Collective et les ) vivant \u00E0 Washington, DC qui ont voulu cr\u00E9er une organisation f\u00E9ministe avec une base \u00E9conomique. En 1973, le collectif publie un 45 tours avec d'un c\u00F4t\u00E9 et Cris Williamson sur l'autre. Yoko Ono r\u00E9pond \u00E0 ce disque en indiquant vouloir faire un project avec Olivia, mais le collectif refuse poliment[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]. Sans se rendre d\u00E9pendantes de personnalit\u00E9s de haut vol, elles arrivent \u00E0 faire un chiffre de 12 000 dollars avec ce 45 tours, ce qui est ensuite suffisant pour sortir le premier album de la chanteuse Meg Christian, I know you know en 1975, et peu de temps apr\u00E8s, Williamson l'album devenu r\u00E9volutionnaire The changer and the changed. Sandy Stone est l'ing\u00E9nieure du son d'Olivia de 1974 \u00E0 1978, enregistrant et mixant tous les albums d'Olivia produits au cours de cette p\u00E9riode. Elle d\u00E9missionne \u00E0 la suite de la pol\u00E9mique autour de son travail pour une entreprise identifi\u00E9e comme lesbienne alors qu'elle est une femme transgenre. Le d\u00E9bat se poursuit dans le livre de Janice Raymond The Transsexuel Empire qui consacre un chapitre \u00E0 la critique de \u00AB l'identit\u00E9 lesbienne f\u00E9ministe construite sur la base de la transsexualit\u00E9 \u00BB. En 1977, apr\u00E8s des critiques r\u00E9p\u00E9t\u00E9es par Anita Bryant, Olivia sort Lesbian Concentrate, une collection de chansons et de po\u00E9sies avec une partie du produit de la vente allant au b\u00E9n\u00E9fice des lesbiennes du Lesbian Mothers National Defense Fund Inclus sur la piste 13 LP se trouve l'ode de Meg Ode To A Gym Teacher\" et Leaping lesbians de Sue Fink. Olivia s'installe d'abord \u00E0 Los Angeles pour rester au centre de la sc\u00E8ne de la musique puis \u00E0 Oakland. Les cinq autres femmes du collectif, qui avait mis en commun leur argent et vivaient m\u00EAme ensemble durant les sept ann\u00E9es pr\u00E9c\u00E9dentes, ont commenc\u00E9 \u00E0 se disperser. Olivia a cess\u00E9 de sortir de nouveaux disques et plut\u00F4t effectu\u00E9 une tourn\u00E9e pour son 15\u1D49 anniversaire en 1988. Les deux concerts au Carnegie Hall de New York ont \u00E9t\u00E9 les plus gros succ\u00E8s de leurs concerts \u00E0 cet endroit. Pourtant, Le New York Times mentionne \u00E0 peine le spectacle. M\u00EAme si Olivia Records publie des musiques du monde et de la salsa, la maison se notre particuli\u00E8rement efficace avec les chanteuses acoustiques solosbien que parfois elles n'aient pas r\u00E9ussi \u00E0 identifier les talents \u00E9mergents. En 1985, la chanteuse et compositrice de Melissa Etheridge, alors une artiste en proie \u00E0 de grandes difficult\u00E9s de Los Angeles, envoie sa d\u00E9mo pour Olivia, mais elle est rejet\u00E9e en fin de compte. Etheridge continue pour devenir l'une des femmes artistes es plus populaires des ann\u00E9es 1990, et sans doute la plus accomplie des lesbiennes musiciennes de tous les temps. Elle a conserv\u00E9 cette lettre de refus, sign\u00E9 par \u00AB les femmes d'Olivia \u00BB, qui est pr\u00E9sent\u00E9e dans le , le documentaire de Lifetime qui lui est consacr\u00E9. Incapable de se r\u00E9inventer afin d'\u00E9voluer pour le paysage musical destin\u00E9 aux femmes avec par exemple riot grrl, Lilith Fair et Ani Difranco, Olivia ne peut plus continuer \u00E0 fonctionner comme un label. Olivia Records Enregistrements fonde Olivia, la ligne de croisi\u00E8re lesbienne en 1988[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]."@fr . . . . . . "Olivia Records est un collectif fond\u00E9 en 1973 par Judy Dlugacz et cinq amies pour enregistrer et commercialiser des musiques de femmes Olivia, nomm\u00E9e d'apr\u00E8s l'h\u00E9ro\u00EFne d'un roman de pulp magazine par Dorothy Bussy, qui tomba amoureuse de sa directrice dans un pensionnat francophone, est le fruit du travail de dix lesbiennes-f\u00E9ministes (les Furies Collective et les ) vivant \u00E0 Washington, DC qui ont voulu cr\u00E9er une organisation f\u00E9ministe avec une base \u00E9conomique. Olivia Records Enregistrements fonde Olivia, la ligne de croisi\u00E8re lesbienne en 1988[r\u00E9f. n\u00E9cessaire]."@fr . . . . . "Olivia Records Inc."@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .