"105039"^^ . . . . . . . . . . . "Rogernomics"@de . "\u30ED\u30B8\u30E3\u30FC\u30CE\u30DF\u30AF\u30B9\uFF08Rogernomics\uFF09\u306F\u30011980\u5E74\u4EE3\u306B\u30CB\u30E5\u30FC\u30B8\u30FC\u30E9\u30F3\u30C9\u3067\u63A8\u3057\u9032\u3081\u3089\u308C\u305F\u7D4C\u6E08\u653F\u7B56\u304A\u3088\u3073\u305D\u306E\u540D\u79F0\u3002"@ja . . . . . "In February 1985, journalists at the New Zealand Listener coined the term Rogernomics, a portmanteau of \"Roger\" and \"economics\" (by analogy with \"Reaganomics\"), to describe the neoliberal economic policies followed by Roger Douglas. Douglas served as Minister of Finance (1984\u20131988) in the Fourth Labour Government of New Zealand of 26 July 1984 to 2 November 1990. Rogernomics featured market-led restructuring and deregulation and the control of inflation through tight monetary policy, accompanied by a floating exchange-rate and reductions in the fiscal deficit.Douglas came from a background of Labour Party politics. His adoption of policies more usually associated with the political right (or New Right), and their implementation by the Fourth Labour Government, became the subject of lasting controversy."@en . . "Le terme de Rogernomics, mot-valise de \u00AB Roger \u00BB et \u00AB economics \u00BB, fut cr\u00E9\u00E9 en analogie avec Reaganomics pour d\u00E9crire les politiques en \u00E9conomie du ministre travailliste n\u00E9o-z\u00E9landais des finances Roger Douglas d\u00E8s le d\u00E9but de son mandat en 1984 et jusqu'en 1990. Ces politiques incluent la diminution des subventions et barri\u00E8res commerciales pour l'agriculture, la privatisation et le contr\u00F4le de l'inflation par des mesures li\u00E9es au mon\u00E9tarisme. Certains membres du Parti travailliste n\u00E9o-z\u00E9landais les virent d\u00E9loyaux aux id\u00E9es qui leur \u00E9taient traditionnellement associ\u00E9es. Douglas quitta par la suite le Parti travailliste pour rejoindre ACT. Sa politique \u00E9conomique sera suivie, de 1990 \u00E0 1993, par le Ruthanasia. Le contexte international est alors tr\u00E8s favorable \u00E0 ce type de r\u00E9formes : \u00AB \u00C0 la fin de 1984, les ministres des finances de six pays de l\u2019OCDE \u2014 la Nouvelle-Z\u00E9lande, l\u2019Australie, l\u2019Espagne, la France, la Su\u00E8de et le Royaume-Uni \u2014 \u00E9taient des porte-parole actifs de la lib\u00E9ralisation \u00BB. Des entreprises publiques sont privatis\u00E9es, dont les t\u00E9l\u00E9communications, les banques, les chemins de fer et les for\u00EAts. Des postes dans la fonction publique sont supprim\u00E9s, le droit du travail est abaiss\u00E9 et l'\u00E2ge de d\u00E9part \u00E0 la retraite recule de cinq ans. Un accord de libre-\u00E9change est sign\u00E9 avec l'Australie en 1990. Des \u00E9conomies sont faites en remodelant la s\u00E9curit\u00E9 sociale n\u00E9o-z\u00E9landaise \u00E0 l'aide de coupes budg\u00E9taires substantielles (r\u00E9duction de 5 % \u00E0 27 %, selon les cas, des prestations sociales : allocations ch\u00F4mage, retraites, pensions d\u2019invalidit\u00E9 et de veuvage). Plusieurs des hauts-fonctionnaires ayant conduit cette lib\u00E9ralisation deviennent par la suite des dirigeants d'entreprises privatis\u00E9es. Les r\u00E9sultats \u00E9conomiques sont les suivants : l'inflation r\u00E9gresse et s'installe durablement sous la barre des 2 %, le d\u00E9ficit budg\u00E9taire est r\u00E9duit et les finances publiques sont assainies : le budget devient exc\u00E9dentaire en 1995, les surplus servent \u00E0 rembourser la dette ext\u00E9rieure de l'\u00C9tat et la dette publique ne d\u00E9passe pas 27 % du PIB. Apr\u00E8s cinq ann\u00E9es de stagnation puis deux ann\u00E9es de r\u00E9cession de 1990 \u00E0 1992, le pays retrouve la croissance \u00E0 un taux de 4,8 % en 1993 puis de 6 % en 1994, dix ans apr\u00E8s l'implantation des r\u00E9formes structurelles, ce qui en fait un des taux les plus \u00E9lev\u00E9s des pays membres de l'OCDE. Le revenu national brut a pratiquement doubl\u00E9, en passant de 6 950 USD en 1984 \u00E0 13 640 USD en 1990. En revanche, le PIB par habitant recule de 10 % par rapport \u00E0 la moyenne de l\u2019OCDE. Entre 1992 et 2002, le pays connait une croissance de 3,6 % en moyenne. Le taux de ch\u00F4mage bondit de 3,9 % en 1985 \u00E0 pr\u00E8s de 11 % en 1992, puis descendit \u00E0 6 % en 1996 et \u00E0 4 % en 2004, deux d\u00E9cennies apr\u00E8s le lancement des r\u00E9formes. Toutefois, le d\u00E9sengagement de l'\u00C9tat s'est \u00E9galement traduit par un durcissement des conditions d'allocations de ch\u00F4mage et une r\u00E9forme compl\u00E8te de l'aide aux familles qui ont creus\u00E9 l'\u00E9cart entre les plus riches et les plus d\u00E9munis, ceux-ci se tournent d\u00E9sormais vers l'allocation d'invalidit\u00E9 ou de parent isol\u00E9. Les limitations apport\u00E9es \u00E0 la couverture sociale du risque maladie ont \u00E9galement suscit\u00E9s plusieurs critiques : les frais de m\u00E9dicaments et de m\u00E9decine ambulatoire rel\u00E8vent en effet de plus en plus largement de la responsabilit\u00E9 individuelle. Or, les assurances priv\u00E9es \u00E9tant ch\u00E8res, une part non n\u00E9gligeable de la population n'en souscrit pas. En 1996, Donald Brash, gouverneur de la Banque centrale d\u00E9clare \u00AB qu'il est encourageant de constater que le public n'encourage gu\u00E8re le retour d'avant les r\u00E9formes de la derni\u00E8re d\u00E9cennie : les agriculteurs ne veulent pas revenir aux subventions, les manufacturiers ne veulent pas revenir au protectionnisme \u00E9lev\u00E9, les voyageurs ne veulent pas retourner au monopole d'une seule compagnie a\u00E9rienne, les clients ne veulent pas retourner aux heures restreintes d'achat, personne ne souhaite revenir aux listes d'attente de six mois pour un t\u00E9l\u00E9phone, personne ne pr\u00E9conise un retour \u00E0 l'ancien minist\u00E8re de la culture, pratiquement personne ne pr\u00E9conise un retour au syndicalisme obligatoire, des enqu\u00EAtes sugg\u00E8rent qu'une \u00E9crasante majorit\u00E9 de personnes est satisfaite ou tr\u00E8s satisfaite de leur emploi, de leur s\u00E9curit\u00E9 d'emploi et de leurs conditions de travail \u00BB. L'ann\u00E9e suivante, il d\u00E9clare toutefois que \u00AB les N\u00E9o-Z\u00E9landais restent ambivalents, voire hostiles aux tourbillons des douze derni\u00E8res ann\u00E9es \u00BB. Une d\u00E9l\u00E9gation du S\u00E9nat fran\u00E7ais d\u00E9clare dans un rapport que si les r\u00E9formes entreprises depuis 1984 font consensus au sein des deux grands partis et que la sc\u00E8ne politique n\u00E9o-z\u00E9landaise en a \u00E9t\u00E9 profond\u00E9ment remodel\u00E9e, certaines politiques sont sujettes \u00E0 d\u00E9bats et plusieurs critiques : les N\u00E9o-Z\u00E9landais ont cependant critiqu\u00E9 ses effets dans le domaine de la sant\u00E9 et de l'\u00E9ducation. Par cons\u00E9quent, en parall\u00E8le de cette politique de lib\u00E9ralisation, le gouvernement conservateur de Jenny Shipley en 1997 \u00E0 chercher \u00E0 corriger les effets pervers et les d\u00E9rives en d\u00E9bloquant sur trois ans pr\u00E8s de 3,5 milliards de dollars suppl\u00E9mentaires pour l'\u00E9ducation, la sant\u00E9 et autres d\u00E9penses sociales."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . "Der Begriff Rogernomics bezeichnet die Politik des ehemaligen neuseel\u00E4ndischen Finanzministers Roger Douglas der Labour Party. Er wurde angelehnt an den Begriff Reaganomics, der auf den US-Pr\u00E4sidenten Ronald Reagan zur\u00FCckgeht."@de . . "Rogernomics"@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Rogernomics"@it . . . . . . . . . . . . . . . . "32950"^^ . . . . . . . "Il termine rogernomics, sincrasi tra \"Roger\" e \"economics\", \u00E8 stato coniato dai giornalisti della rivista in analogia con il termine reaganomics, per descrivere le politiche economiche seguite da dopo la sua nomina nel 1984 come ministro delle Finanze nel quarto governo laburista della Nuova Zelanda. La rogernomics \u00E8 stata caratterizzata dalla ristrutturazione guidata dal mercato, dalla deregolazione e dal controllo dell'inflazione attraverso una politica monetaria restrittiva, accompagnata da un tasso di cambio fluttuante e dalla riduzione del deficit fiscale. Douglas proviene dall'area laburista e l'adozione del suo governo di politiche economiche di solito associate alla parte conservatrice dello schieramento politico, \u00E8 stata oggetto di lunghe controversie."@it . . . . . . . . "\u30ED\u30B8\u30E3\u30FC\u30CE\u30DF\u30AF\u30B9\uFF08Rogernomics\uFF09\u306F\u30011980\u5E74\u4EE3\u306B\u30CB\u30E5\u30FC\u30B8\u30FC\u30E9\u30F3\u30C9\u3067\u63A8\u3057\u9032\u3081\u3089\u308C\u305F\u7D4C\u6E08\u653F\u7B56\u304A\u3088\u3073\u305D\u306E\u540D\u79F0\u3002"@ja . . "Le terme de Rogernomics, mot-valise de \u00AB Roger \u00BB et \u00AB economics \u00BB, fut cr\u00E9\u00E9 en analogie avec Reaganomics pour d\u00E9crire les politiques en \u00E9conomie du ministre travailliste n\u00E9o-z\u00E9landais des finances Roger Douglas d\u00E8s le d\u00E9but de son mandat en 1984 et jusqu'en 1990. Ces politiques incluent la diminution des subventions et barri\u00E8res commerciales pour l'agriculture, la privatisation et le contr\u00F4le de l'inflation par des mesures li\u00E9es au mon\u00E9tarisme. Certains membres du Parti travailliste n\u00E9o-z\u00E9landais les virent d\u00E9loyaux aux id\u00E9es qui leur \u00E9taient traditionnellement associ\u00E9es. Douglas quitta par la suite le Parti travailliste pour rejoindre ACT. Sa politique \u00E9conomique sera suivie, de 1990 \u00E0 1993, par le Ruthanasia."@fr . "1111780949"^^ . . . . . . . "Der Begriff Rogernomics bezeichnet die Politik des ehemaligen neuseel\u00E4ndischen Finanzministers Roger Douglas der Labour Party. Er wurde angelehnt an den Begriff Reaganomics, der auf den US-Pr\u00E4sidenten Ronald Reagan zur\u00FCckgeht."@de . . . . "In February 1985, journalists at the New Zealand Listener coined the term Rogernomics, a portmanteau of \"Roger\" and \"economics\" (by analogy with \"Reaganomics\"), to describe the neoliberal economic policies followed by Roger Douglas. Douglas served as Minister of Finance (1984\u20131988) in the Fourth Labour Government of New Zealand of 26 July 1984 to 2 November 1990. Rogernomics featured market-led restructuring and deregulation and the control of inflation through tight monetary policy, accompanied by a floating exchange-rate and reductions in the fiscal deficit.Douglas came from a background of Labour Party politics. His adoption of policies more usually associated with the political right (or New Right), and their implementation by the Fourth Labour Government, became the subject of lasting"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "\u30ED\u30B8\u30E3\u30FC\u30CE\u30DF\u30AF\u30B9"@ja . . . . . . . . . . . "Il termine rogernomics, sincrasi tra \"Roger\" e \"economics\", \u00E8 stato coniato dai giornalisti della rivista in analogia con il termine reaganomics, per descrivere le politiche economiche seguite da dopo la sua nomina nel 1984 come ministro delle Finanze nel quarto governo laburista della Nuova Zelanda. La rogernomics \u00E8 stata caratterizzata dalla ristrutturazione guidata dal mercato, dalla deregolazione e dal controllo dell'inflazione attraverso una politica monetaria restrittiva, accompagnata da un tasso di cambio fluttuante e dalla riduzione del deficit fiscale."@it . . . . . . . . . . . . "Rogernomics"@en . .