. . . . "1124278596"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La soci\u00E9t\u00E9 chinoise durant la dynastie Song (960-1279) est marqu\u00E9e par les r\u00E9formes politiques et l\u00E9gales, un retour philosophique du confucianisme et le d\u00E9veloppement des villes qui deviennent, au-del\u00E0 de centres administratifs, des centres commerciaux, industriels et de commerce maritime. Les habitants des zones rurales sont pour la plupart des fermiers, m\u00EAme si certains sont chasseurs, p\u00EAcheurs ou employ\u00E9s du gouvernement travaillant dans les mines ou les marais salants. Inversement, les boutiques, les artisans, les gardes de la ville, les saltimbanques, les travailleurs et les riches marchands vivent dans les centres des comt\u00E9s ou des provinces, avec la noblesse chinoise (une petite communaut\u00E9 d'\u00E9lite de fonctionnaires \u00E9duqu\u00E9s et \u00E9rudits)."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "138985"^^ . . . . . . . . . . . . "10443808"^^ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La soci\u00E9t\u00E9 chinoise durant la dynastie Song (960-1279) est marqu\u00E9e par les r\u00E9formes politiques et l\u00E9gales, un retour philosophique du confucianisme et le d\u00E9veloppement des villes qui deviennent, au-del\u00E0 de centres administratifs, des centres commerciaux, industriels et de commerce maritime. Les habitants des zones rurales sont pour la plupart des fermiers, m\u00EAme si certains sont chasseurs, p\u00EAcheurs ou employ\u00E9s du gouvernement travaillant dans les mines ou les marais salants. Inversement, les boutiques, les artisans, les gardes de la ville, les saltimbanques, les travailleurs et les riches marchands vivent dans les centres des comt\u00E9s ou des provinces, avec la noblesse chinoise (une petite communaut\u00E9 d'\u00E9lite de fonctionnaires \u00E9duqu\u00E9s et \u00E9rudits). Comme les propri\u00E9taires terriens et les fonctionnaires du gouvernement, les nobles se consid\u00E8rent comme l'\u00E9lite conduisant la soci\u00E9t\u00E9. Leur coop\u00E9ration et leur travail sont essentiels pour la bureaucratie surcharg\u00E9e tant au niveau national que provincial. En plusieurs points, les fonctionnaires \u00E9rudits de la p\u00E9riode Song diff\u00E8rent des fonctionnaires plus aristocratiques de la dynastie Tang (618\u2013907). Les examens imp\u00E9riaux deviennent le premier moyen de nomination d'un fonctionnaire \u00E0 un poste puisque la comp\u00E9tition pour les r\u00E9ussir est de plus en plus grande. Les d\u00E9saccords fr\u00E9quents des ministres d'\u00C9tat sur les probl\u00E8mes id\u00E9ologiques et politiques conduisent \u00E0 des conflits et \u00E0 l'apparition de factions politiques. Ceci sape la strat\u00E9gie du mariage, qui permet \u00E0 de nombreuses familles de faire entrer leurs fils dans la fonction publique. Les fonctionnaires confucianistes ou l\u00E9gistes dans la Chine ancienne cat\u00E9gorisent tous les groupes socio-\u00E9conomiques en quatre occupations, vastes et hi\u00E9rarchiques, et qui sont (dans l'ordre descendant) : les shi (fonctionnaires ou nobles), les nong (fermiers paysans), les gong (artisans) et les shang (marchands). Les riches propri\u00E9taires terriens et fonctionnaires poss\u00E8dent les moyens pour pr\u00E9parer leurs fils aux examens imp\u00E9riaux, pourtant la comp\u00E9tition des marchands augmente durant la p\u00E9riode Song. Les marchands complotent fr\u00E9quemment avec les fonctionnaires, malgr\u00E9 le fait que ces derniers, \u00E9rudits, n'ont aucune vocation mercantile, tout autant qu'ils respectent l'artisanat et l'agriculture. La carri\u00E8re militaire offre aussi aux officiers une alternative pour progresser dans la soci\u00E9t\u00E9 Song, m\u00EAme si les soldats n'y avaient pas une place \u00E9minente. Bien que certains devoirs domestiques et familiaux soient attendus des femmes, elles jouissent quand m\u00EAme d'un certain nombre de droits sociaux et l\u00E9gaux par rapport \u00E0 une soci\u00E9t\u00E9 patriarcale. Les progr\u00E8s sur les droits des femmes \u00E0 acc\u00E9der \u00E0 la propri\u00E9t\u00E9 apparaissent progressivement avec l'augmentation de la valeur des dots offertes aux familles des mari\u00E9es. Le tao\u00EFsme et le bouddhisme sont les religions dominantes dans la Chine des Song, la derni\u00E8re influen\u00E7ant profond\u00E9ment plusieurs croyances et principes du n\u00E9oconfucianisme. D'autre part, le bouddhisme est sujet de fortes critiques de la part des ardents partisans et philosophes confucianistes de cette \u00E9poque. Les croyances plus anciennes en la mythologie chinoise, la religion traditionnelle chinoise et le culte des anc\u00EAtres ont \u00E9galement une place importante dans la vie quotidienne du peuple, puisque les Chinois croient que les divinit\u00E9s et les fant\u00F4mes du royaume spirituel interagissent fr\u00E9quemment avec le royaume des vivants. Le syst\u00E8me judiciaire Song est entretenu par les chefs de la police, enqu\u00EAteurs, m\u00E9decins l\u00E9gistes officiels et r\u00E9dacteurs officiels qui aident les magistrats. Ces derniers sont encourag\u00E9s pour appliquer \u00E0 la fois leurs connaissances pratiques et la loi \u00E9crite dans les d\u00E9cisions judiciaires qui sont la promotion de la moralit\u00E9 soci\u00E9tale. Des avanc\u00E9es dans la naissante m\u00E9decine l\u00E9gale, une plus grande importance sur la collecte de preuves indiscutables et un enregistrement m\u00E9ticuleux par des clercs des rapports d'autopsies, ainsi que les d\u00E9positions de t\u00E9moins aident les autorit\u00E9s \u00E0 condamner les criminels."@fr . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "La sociedad china durante la dinast\u00EDa Song (960\u20131279) estuvo marcada por reformas pol\u00EDticas y legales, un renacimiento filos\u00F3fico del Confucianismo, y el desarrollo de las ciudades m\u00E1s all\u00E1 de los prop\u00F3sitos administrativos en los centros de comercio e industria. Los habitantes de las \u00E1reas rurales eran en su mayor\u00EDa granjeros, aunque algunos tambi\u00E9n fueron cazadores, pescadores, o empleados del gobierno trabajando en minas o salinas. Al contrario, los comerciantes, artesanos, guardias de la ciudad, animadores, obreros, y mercaderes ricos viv\u00EDan en los condados o en las provincias centrales junto con el pueblo chino, un peque\u00F1o grupo que pertenec\u00EDa a la comunidad \u00E9lite de expertos educados y altos cargos. Al ser terratenientes y los oficiales de gobierno, la alta burgues\u00EDa se consideraba miembros influyentes o destacados de la sociedad; por ende, su cooperaci\u00F3n era esencial con el fin de reducir la carga de tareas de los funcionarios del condado o pronvinciales. En muchas maneras, los altos cargos del per\u00EDodo Song difirieron de los muchos altos cargos aristocr\u00E1ticos de la dinast\u00EDa Tang (618\u2013907). Las examinaciones del servicio civil se convirtieron en el principal medio de designaci\u00F3n para un puesto oficial. Las frecuentes disconformidades entre los ministros del estado sobre tem\u00E1ticas ideol\u00F3gicas y pol\u00EDticas condujeron a disputas y rebeliones de las facciones pol\u00EDticas. Los expertos o legistas confucianos en la Antigua China \u2014tal vez ya en los finales de la dinast\u00EDa Zhou (c. 1046 a. C. \u2013256 a. C.)\u2014 se encargaron de la categorizaci\u00F3n de todos los grupos socioecon\u00F3micos de acuerdo a sus ocupaciones jer\u00E1rquicas en cuatro (en orden descendente): los shi (\u58EB, escolares o la gente), los nong (\u519C, campesinos y granjeros), los gong (\u5DE5, artesanos o artistas) y los shang (\u5546, comerciantes).\u200B Los terratenientes y oficilaes ricos pose\u00EDan los recursos necesarios como para preparar de mejor manera a sus hijos para las examinaciones de la administraci\u00F3n civil, pero muy a menudo, rivalizaban en su poder y riqueza con los comerciantes del per\u00EDodo Song. De manera frecuente, los comerciantes llegaban a acuerdos pol\u00EDticos y comerciales con los oficiales, a pesar del hecho de que los oficiales ve\u00EDan la vocaci\u00F3n de comerciantes como una actividad menos respetable que la de granjero o artesano. Los militares tambi\u00E9n proporcionaron un medio para el avance en la sociedad Song, sin embargo, no disfrutaban de un rango social alto y de amplios derechos legales en una sociedad patriarcal distinta. La mejora de los derechos de las mujeres en los bienes vino gradualmente con el incremento del valor de las dotes ofrecidas por la familia de la novia. El Tao\u00EDsmo y el Budismo fueron las religiones predominantes de China en la \u00E9poca Song, y posteriormente impactaron en el territorio muchas creencias y principios del y de los filos\u00F3ficos de esa \u00E9poca.\u200B Las viejas creencias en la antigua mitolog\u00EDa china, la religi\u00F3n folcl\u00F3rica y el culto a los ancestros tambi\u00E9n continuaron jugando un papel importante en las vidas de las personas, como la creencia china de que las deidades y los fantasmas del reino espiritual frecuentemente interactuaban con el reino de los vivos. El sistema judicial Song estaba compuesto por alguaciles, investigadores, m\u00E9dicos forenses y oficiales quienes actuaron como magistrados. Los magistrados Song fueron alentados a aplicar sus conocimientos as\u00ED como tambi\u00E9n la ley en sus decisiones judiciales con el \u00FAnico fin de promover la moralidad social. Los avances en la ciencia forense permitieron un mayor \u00E9nfasis en la recolecci\u00F3n de pruebas veros\u00EDmiles, y en el registro cuidadoso de los reportes de las autopsias de parte de los empleados y los testimonios de los testigos que ayudaran a las autoridades en las condenas de los criminales.\u200B"@es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Soci\u00E9t\u00E9 sous la dynastie Song"@fr . . . . . . . . . "La sociedad china durante la dinast\u00EDa Song (960\u20131279) estuvo marcada por reformas pol\u00EDticas y legales, un renacimiento filos\u00F3fico del Confucianismo, y el desarrollo de las ciudades m\u00E1s all\u00E1 de los prop\u00F3sitos administrativos en los centros de comercio e industria. Los habitantes de las \u00E1reas rurales eran en su mayor\u00EDa granjeros, aunque algunos tambi\u00E9n fueron cazadores, pescadores, o empleados del gobierno trabajando en minas o salinas. Al contrario, los comerciantes, artesanos, guardias de la ciudad, animadores, obreros, y mercaderes ricos viv\u00EDan en los condados o en las provincias centrales junto con el pueblo chino, un peque\u00F1o grupo que pertenec\u00EDa a la comunidad \u00E9lite de expertos educados y altos cargos. Al ser terratenientes y los oficiales de gobierno, la alta burgues\u00EDa se consideraba m"@es . . . . . . . . . . . . "Chinese society during the Song dynasty (960\u20131279) was marked by political and legal reforms, a philosophical revival of Confucianism, and the development of cities beyond administrative purposes into centers of industry and of maritime and river commerce. The rural population were mostly farmers, with some hunters, fishermen, and workers in the imperial mines and salt marshes. Conversely, shopkeepers, artisans, city guards, entertainers, laborers, and wealthy merchants lived in the county and provincial centers along with the Chinese gentry\u2014a small, elite community of educated scholars and scholar-officials."@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Chinese society during the Song dynasty (960\u20131279) was marked by political and legal reforms, a philosophical revival of Confucianism, and the development of cities beyond administrative purposes into centers of industry and of maritime and river commerce. The rural population were mostly farmers, with some hunters, fishermen, and workers in the imperial mines and salt marshes. Conversely, shopkeepers, artisans, city guards, entertainers, laborers, and wealthy merchants lived in the county and provincial centers along with the Chinese gentry\u2014a small, elite community of educated scholars and scholar-officials. As landholders and examination-drafted degree holders, the gentry considered themselves the leaders of society; gaining their cooperation and resources was essential for the county or provincial bureaucrat overburdened with official duties. In many ways, scholar-officials of the Song period differed from the more aristocratic officials of the Tang dynasty (618\u2013907). Civil service examinations became the primary means of appointment to an official post as competitors for offices dramatically increased. Frequent disagreements amongst ministers of state on ideological and policy issues led to political strife and the proliferation of factions, giving entry for a multitude of families into the civil service. Confucian or Legalist scholars in ancient China\u2014perhaps as far back as the late Zhou dynasty (c. 1046\u2013256 BC)\u2014categorized society into a hierarchy of four occupations (in descending order): shi (scholars, or gentry), nong (peasant farmers), gong (artisans and craftsmen), and shang (merchants). Wealthy landowners and officials possessed the resources to prepare their sons for the rigorous civil service examinations, yet they were often rivaled in their power and wealth by merchants in the Song period. Merchants frequently colluded commercially and politically with officials, despite the low prestige of mercantile vocations. The military also provided a means for advancement for those who became officers, though soldiers also were not highly respected. Although strict domestic and familial duties were expected of women in Song society, they enjoyed a range of social and legal rights in an otherwise patriarchal society. Women's property rights improved gradually with the increasing value of dowries offered by brides' families. Daoism and Buddhism were the dominant religions of China in the Song era, the latter deeply affecting many beliefs and principles of Neo-Confucianism throughout the dynasty, although Buddhism came under heavy criticism by staunch Confucian advocates. Older beliefs in ancient Chinese mythology, folk religion, and ancestor worship also played a large part in daily life, with widespread belief in deities and ghosts of the spiritual realm acting among the living. The Song justice system was maintained by sheriffs, investigators, and official coroners, and headed by exam-drafted officials acting as county magistrates. Song magistrates were encouraged to apply practical knowledge as well as written law in making judicial decisions to promote social morality. Advances in early forensic science, a growing emphasis on gathering evidence, and careful recording by clerks of autopsy reports and witness testimony aided authorities in convicting criminals."@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Society of the Song dynasty"@en . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . "Sociedad de la dinast\u00EDa Song"@es . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .